Un jour, c'était Richard qui était chez moi.
Et je sonnais en vain car, ne connaissant pas ce bruit, il ne soupçonnait pas qu'il puisse être celui de l'interphone.
C'était l'époque dinosaure sans ordinateur -il avait un texte à taper sur ma machine électrique- et sans téléphone portable -il n'osait pas décrocher tandis que je l'appelais d'un café voisin pour lui demander de m'ouvrir.
Plus tard, il y a eu le deuxième étage et la fenêtre à laquelle il fallait se pencher si nous voulions savoir qui avait sonné -et nous l'ouvrions discrètement car il nous arrivait de faire semblant de ne pas être là.
Au parvis, nous avions vue sur la cour et si nous décrochions l'appareil, nous pouvions entendre les oiseaux, côté jardin et cathédrale.
Rue Durnerin, je descendais ouvrir moins souvent que lui.
Il y avait deux étages.
A présent, il y en a trois.
Jamais je n'ai eu d'interphone plus efficace et en meilleur état de fonctionnement qu'à Tokyo.
Il était situé dans la cuisine.
A un mètre cinquante environ de la porte à oeilleton à laquelle les visiteurs sonnaient.
par ailleurs, La voix humaine est un livre de Jean Cocteau.
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