samedi 16 octobre 2010

n°25

Après je suis rentrée et j'ai transporté dans la chambre les accessoires de l'autarcie : livre, clavier, plaid et, en guise de parfum, le numéro épicé du palais des thés. 
Il est rare que je sois dans cette pièce dans la journée. 
Tournant la tête, j'ai regardé mes vêtements, sur le portant. 
Dans le silence et comme en mon absence, ils semblaient se reposer de la vie, se reposer de moi. 

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