M.L. aussi. J'entre dans la salle de bain où elle est en peignoir et ne me voit pas : E. me cache en se plaçant devant moi.
Mais, ensuite, je suis dans la chambre d'E. et là, M.L. me voit. Elle se met à pleurer et à crier. Je suis forcée de la consoler. E. la tient par la main et lui dit : Mais tu liras des magazines, tu verras, ça ira.
J'explique à M.L. qu'il vaut mieux qu'elle apprenne tout de suite que son histoire avec E. est finie.
Elle semble se calmer et ne pas m'en vouloir. Pourtant, arrivée dans une salle où il y a beaucoup de monde (de la famille), elle sort un revolver de sa poche et se le met sur la tempe. Tout le monde se récrie mais personne ne l'empêche vraiment d'appuyer sur la détente.
Roulette russe : il n'y a qu'un déclic. Elle me tend l'arme en me disant : A ton tour.
Je m'y refuse. Alors elle dit : Réglons nos comptes dans le jardin.
Il me semble que c'est à moi de sortir la première et, pourtant, je me tiens le raisonnement que si je sors, elle tirera tout de suite sur moi et que, si quelqu'un d'autre sort à ma place (je pense à E. pour qu'il lui explique mais il n'a pas l'intention de le faire), elle tirera aussi, sans regarder qui sort.
Rêve du 30 mars 1993
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