rue Linière
(une autophotografiction)
dimanche 6 mai 2012
Le parfum quotidien
il m'a semblé que le pain frais ne parfumait pas que mon sac :
me parfumait moi.
Et j'ai imaginé, posé sur ma coiffeuse
-ou sur la table du petit déjeuner-
un flacon aux formes pures
empli de la fragrance
pain beurré
pour tous les matins de la vie.
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