Tandis qu'avec deux heures d'avance la pendule du premier rappelait l'imminence de la cérémonie du thé
une soudaine rafale de vent éparpilla l'essaim bavard de perruches par-dessus les arbres et les toits.
J'avais écrit tout l'après-midi et mes lèvres déposèrent
une marque bleue sur mon bol de sencha.
je sais : ça ne sert probablement à rien, mais à force de passer presque tous les jours sur ce blog et d'en ressentir les stimulations à lire, à réfléchir et à créer, j'éprouve le besoin de dire tout simplement : merci.
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