Sa démarche faussement nonchalante. Ses bras toujours le long du corps. Ses mains souvent serrées prêtes aux coups. Sa bouche joliment ourlée comme l'est souvent celle des hommes de sa nationalité. Son regard qui juge qui dévisage. Et sa voix à l'accent à peine perceptible. La surprise dans sa voix le jour où s'approchant plus près de moi il avait découvert la couleur cachée dans mes yeux.
Et à cet instant, j'ai cessé de respirer.
c'étaitdoncçaalorsçaexistaitvraimentcequ'onappellelapenséemagiqueilsuffisaitdoncdepenseràluilesjoursprécédentsdemedemandersiunjourjelereverraisouimaisoùdetoutefaçonpasdanslesbeauxquartiersdeBruxellesilfallaitquej'enfréquented'autresdesruesetpeutêtreaaussid'autresvillesd'autrescontinentsalorsilsuffisaitdepenseràluienmedemandantsiunjourj'entendraissavoixànouveaumevouvoyeretprononcermonprénometvoilàilapparaissaitsoudainementdansunelibrairieforcémentpuisquec'étaitaussidansunelibriaiequejel'avaisrencontréetqu'ons'étaitvusleplussouventilavaitdûenfalloirdespapillonsàl'autreboutdelaplanètepourprovoquercemoment
Mais ce n'était pas lui.
Je pourrais citer Harold Manning aussi.
(et les oiseaux de Londres parlent en même temps que lui)
Harold Manning traduit "our mutuel friend" de Divine Comedy
-et Neil Hannon aussi est un homme de ma vie-
Harold Manning dit dans une salle obscure, vous savez où me trouver.
J'aimerais savoir laquelle c'est.
Et puis il y a cet homme-là.
Cet homme qui me dit
qu'il n'y a qu'à moi qu'il lit
de la poésie.
Cet homme-là
dont j'aime la voix.
(pas que la voix)
j'ai ecoute aussi l'emission , connue par toi - et j'avais adore, en son temps, cette chanson la, qu'on ecoutait si souvent lui et moi- et je me voyais te raconter l'anecdote de ton harold qui me parle de notre chanson - mais evidemment, l'homme a dit, a l'ecoute de l'emission :"ah bon, on l'ecoutait souvent?"...
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