La topographie est l'art de la mesure puis de la représentation sur un plan ou une carte des formes et détails visibles sur le terrain, qu'ils soient naturels (notamment le relief) ou artificiels (comme les bâtiments, les routes, etc.). Son objectif est de déterminer la position et l'altitude de n'importe quel point situé dans une zone donnée, qu'elle soit de la taille d'un continent, d'un pays, d'un champ ou d'un corps de rue.
La topographie s'appuie sur la géodésie qui s'occupe de la détermination mathématique de la forme de la Terre (forme et dimensions de la Terre, coordonnées géographiques des points, altitudes, déviations de la verticale...). La topographie s'intéresse aux mêmes quantités, mais à une plus grande échelle, et elle rentre dans des détails de plus en plus fins pour établir des plans et cartes à différentes échelles.
Que veulent-ils dire ceux qui disent -qu'est-ce que ça signifie vraiment- qu'ils ne décident jamais rien, qu'ils renoncent à faire des choix.
Parfois, je me dis que la vie des autres va me servir d'exemple.
Je me le dis quand je manque d'inspiration pour une journée.
D'inspiration, d'imagination, d'élan.
Ça m'arrive, de temps en temps.
Ça m'arrive comme à d'autres.
Mais ça, cesser de décider, je ne sais pas. J'aimerais parfois mais je ne sais pas.
Comment rentrer chez soi sans faire de choix ?
Prendre une rue plutôt qu'une autre -et il y en a tant- quelle que soit la raison qui nous y pousse -et il y en a tant-
Passer à droite plutôt que tout droit.
Emprunter le passage souterrain plutôt qu'attendre au feu.
Rue Haute ou rue Blaes ?
Ce n'est pas décider, ça ?
J'ai choisi, quant à moi, la rue Bosquet parce que je ne la connaissais pas.
J'ai tourné la tête et ils ont été là, soudain là, comme plantés pour moi.
Deux arbres respiraient tranquillement, dans le bleu de l'après-midi.
Et les fleurs -ah ces fleurs- qui, toujours, me font battre le coeur.
Que veulent-ils dire ceux qui disent -qu'est-ce que ça signifie vraiment- qu'ils ne décident jamais rien, qu'ils renoncent à faire des choix.
Parfois, je me dis que la vie des autres va me servir d'exemple.
Je me le dis quand je manque d'inspiration pour une journée.
D'inspiration, d'imagination, d'élan.
Ça m'arrive, de temps en temps.
Ça m'arrive comme à d'autres.
Mais ça, cesser de décider, je ne sais pas. J'aimerais parfois mais je ne sais pas.
Comment rentrer chez soi sans faire de choix ?
Prendre une rue plutôt qu'une autre -et il y en a tant- quelle que soit la raison qui nous y pousse -et il y en a tant-
Passer à droite plutôt que tout droit.
Emprunter le passage souterrain plutôt qu'attendre au feu.
Rue Haute ou rue Blaes ?
Ce n'est pas décider, ça ?
J'ai choisi, quant à moi, la rue Bosquet parce que je ne la connaissais pas.
J'ai tourné la tête et ils ont été là, soudain là, comme plantés pour moi.
Deux arbres respiraient tranquillement, dans le bleu de l'après-midi.
Et les fleurs -ah ces fleurs- qui, toujours, me font battre le coeur.
1 commentaire:
Devant une banque, dans cette rue immense au bout de laquelle se trouve la maison aux volets bleus, il y a un de ces arbres aussi, un seul, un vrai, offert par un donateur japonais.
De promenade tôt, il y a quelques matins, quelques fleurs en étaient ouvertes.
Le bus du jour m'a montré la floraison plus épanouie encore.
Et tout comme toi, le coeur s'est serré.
D'une émotion fugitive et précieuse, fragile, comme un pétale.
Une douceur de rose dans mon univers noir et blanc du moment !
(heureuse que dans ta capitale, tu aies trouvé ces arbres, qu'importe le déterminisme quand les choix sont de bon ?)
(par ailleurs, il est possible que je passe en mai de part ces rues, qu'en penserais-tu, y serais-tu ?)
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