Elles commencent pourtant toutes de la même manière :
la même lumière hésitante,
le même parfum diffusé derrière l'oreille,
la même franchise du miroir,
l'invariable orange, à côté de la théière,
le même nombre de conducteurs aimables aux passages piétons.
Mais.
Il y a des journées qui ne sont pas assez grandes, pas assez larges, pas suffisantes à ma vie.
Et d'autres qui me donnent l'impression de vivre dans un entresol avec vue sur le mur.
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