"Je suis une jeune mariée et déjà je sens le bonheur m'échapper. J'ai un mari sérieux, travailleur et qui m'aime; mais depuis tout un temps de nombreuses et vives querelles éclatent entre nous. Je dois avouer que le principal motif de ces discordes provient de nos divergences d'idées concernant l'intimité conjugale. A mon avis, toutes ces choses accessoires et qui pèsent parfois tant à une femme ne doivent pas mettre obstacle au bonheur des époux... Je me prends pourtant à douter de moi et me demande très sincèrement si j'aimais mon mari quand je l'ai épousé. Je regrette souvent d'avoir uni ma vie à la sienne. Cependant je conserve un souvenir délicieux de nos fiançailles. Me suis-je trompée ou l'amour ne dure-t-il jamais plus que le temps que durent les roses ?"
"J'en avais assez de vivre avec ma belle-mère et je l'ai mise à la porte de chez moi... Malheureusement ma femme l'a suivie. Malgré des lettres aimables, des appels en conciliation devant le Juge de Paix et des sommations par huissier, mon épouse a refusé de revenir avec moi. Un jour, en rentrant de mon travail, j'ai même trouvé la maison vidée de fond en comble; ma femme était venue tout chercher avec une voiture de déménagement. Il ne me restait qu'un vieux lit anglais, deux chaises cassées, une table de laverie toute pourrie... et mes yeux pour pleurer ! Comme on me réclamait en outre une pension alimentaire, j'ai trouvé que la coupe débordait et j'ai intenté une action en divorce. Depuis plus de deux ans, je suis dans les tribunaux; les procédures m'ont déjà coûté plus de 10.000 francs, et on me demande de verser encore plusieurs milliers de francs. J'ai dit à mon avocat que je préférais abandonner, mais il me dit que si je laisse tomber la procédure, cela me coûtera encore beaucoup plus cher. Est-ce possible ?"
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