Quelques personnes sont réunies dans une salle où je les rejoins sans savoir ce qu'il va s'y passer.
Cela pourrait être à l'occasion d'un pot offert mais rien n'est préparé nulle part.
Finalement, il s'agit d'une rencontre avec Véronique Ovaldé mais personne ne l'anime.
Elle aborde le sujet de son image et explique que, depuis le jour où elle s'est vue en photo, elle ne maquille plus ses yeux.
Je fais remarquer -je suis un peu embarrassée de ne pas savoir si je dois la tutoyer ou la vouvoyer alors je fais les deux dans la même phrase- que, quand je regardais son portrait sur les couvertures de ses livres, je me disais que ça devait être fatigant d'avoir toujours les yeux charbonneux et la bouche très peinte : à peine levée, elle devait être maquillée, impeccable !
Elle dit que, en effet, elle a une vie bien plus simple à présent ! Plus simple mais pas du tout ennuyeuse parce que...
Là, elle se lève, tend son pull sur son ventre à peine gonflé et passe entre les sièges pour le faire toucher, fièrement (comme si sa grossesse était à un stade beaucoup plus avancé) avant de partir en disant qu'elle étouffe dans cette salle et qu'elle a la nausée.
Rêve du 27 décembre 2011
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire