samedi 31 juillet 2010

L'absence

J'ai posé la tête sur mes bras croisés et mes bras sur la table. 
Et pendant que je n'étais pas là -car : où est-on vraiment quand on dort ?- le vent et le soleil sont entrés, par la fenêtre. Le vent qui a feuilleté mon carnet à spirales. 
Au réveil, j'ai lu un mot, un mot, un seul, que je ne me souvenais pas avoir écrit : 

entêtement

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